Institut pour l'Etude et la Conservation du Baobab

L’association INECOBA s’intéresse à développer et à promouvoir tous projets qui visent à étudier, protéger et sauvegarder les baobabs qui comptent déjà 6 espèces menacées inscrites sur la liste rouge l’IUCN parmi les 8 représentées dans le monde.

baobab

  • Présentation d'INECOBA

    L'INECOBA, association loi 1901 : Institut pour l'Etude et la Conservation du Baobab a été officiellement créée le 20 décembre 2007. Cette association a pour objet :

    * de promouvoir toute réflexion et toute action visant à faire connaître le baobab en France, en Afrique et plus particulièrement au Sénégal et dans le reste du monde,

    * d'encourager et développer des outils d'information et de communication sur les plantes tropicales et arbres à destination des enfants, des étudiants et du grand public,

    * d'encourager les étudiants et les chercheurs à développer une recherche scientifique autour des baobabs.


    Le parrain de notre association est Jérôme Hutin, photographe-explorateur et auteur du livre "Les arbres vénérables".
     

    Nos actions

    Nous avons été contactés à nombreuses reprises sur des projets très variés auxquels nous avons collaboré ou collaborons actuellement :

    - Nous avons suivi le travail de 3 étudiants en prépa agronomie du Laboratoire de biologie au lycée Robespierre à Arras qui ont travaillé sur un mémoire autour de la germination des graines de baobab.

    - Financement de notre projet D-carte "Au chevet des Baobabs" avec l'édition de cette carte début 2011 grâce au soutien de la Fondation Nature et Découverte, la Mairie d'Aulnay-sous-Bois, les sociétés : Baobab Fruit Compagny - Baobab Company et le soutien du CERIMES

    - Nous sommes toujours en contact avec Adrian Patrut, chercheur chimiste ayant déjà publié plusieurs résultats de datations au C14 sur quelques baobabs d’Afrique.

    -  L'INECOBA vient de rejoindre l'Association Départementale du Jardinage et du Fleurissement de la Seine-Saint-Denis (AD93) dont l'une des missions de cette association est de promouvoir et encourager toutes actions en faveur de la défense de l’environnement.

    - Notre association propose depuis bientôt 4 ans un kit pédagogique Baobécole intitulé "Découverte de l'Afrique et des Baobabs". Ce kit est un outil pédagogique pluridisciplinaire à destination des élèves de maternelle de moyenne et grand section ayant pour objectif la découverte d'une autre culture, de nouveaux paysages, d'une faune et d'une flore typiqye du continent africain et en particulier les baobabs, symbole du Sénégal.

    - Nous nous sommes associé avec la succession d'Antoine de Saint-Exupéry en juin 2010 en proposant des sachets de graines de baobab sous licence "Le Petit Prince" respectant les règles du commerce équitable.

    - L'INECOBA est désormais une marque déposée (n° national : 10 3 743 802) à l'INPI (Institut National de la Propriété Industrielle). Cette inscription était devenue nécessaire contre toute utilisation du nom de notre association dans un autre cadre que celui de nos activités.

    - Notre association est toujours en contact avec l'écomusée du Baobab à Mayotte qui a obtenu le soutien des différentes collectivités publiques et privées. Un poster intitulé "Mayotte : terre de biodiversité pour les baobabs" a été publié cette année et a reçu le label "Année Internationale de la Biodiversité". Il est disponible en téléchargement sur notre site internet.

    - Nous sommes en contact avec une association locale qui s'intéresse à la protection de l'Allée des Baobabs de Morondava à Madagascar et suivons aussi de près les recherches de l'équipe du CIRAD dirigée par Pascal Danthu. Nous souhaitons mettre en place une convention de partenariat entre notre association et cet institut de recherche français.

  • Présentation d'INECOBA

    Une association loi 1901 dénommée l'INECOBA : Institut pour l'Etude et la Conservation du Baobab a été officiellement créée le 20 décembre 2007. Cette association aura pour objet :

    * de promouvoir toute réflexion et toute action visant à faire connaître le baobab en France, en Afrique et plus particulièrement au Sénégal et dans le reste du monde,

    * d'encourager et développer des outils d'information et de communication sur les plantes tropicales et arbres à destination des enfants, des étudiants et du grand public,

    * d'encourager les étudiants et les chercheurs à développer une recherche scientifique autour des baobabs.


    Plusieurs actions sont d'ores et déjà prévues :

    - la finalisation d'une carte postale DVD sur le baobab en Afrique dans une nouvelle collection intitulée "Développement Durable". Tout au long du mois de septembre, nous avons réalisé plusieurs séquence de tournage au Sénégal avec un professionnel pour illustrer le baobab et la problèmatique de non-regénération de l'espèce qui est une menace à terme.

    - la promotion et diffusion d'un kit pédagogique pour les élèves de maternelle intitulé Baobécole. Le Kit Baobécole© est un outil pédagogique pluridisciplinaire à destination des élèves de maternelle de moyenne et grande section ayant pour objectif la découverte d'une autre culture, de nouveaux paysages, d'une faune et d'une flore typique du continent africain et en particulier les baobabs, symbole du Sénégal. Cet outil complet a pour but d'éveiller et de développer la créativité, la curiosité et le respect de l'environnement chez les élèves tout en y associant l'acquisition de connaissances scolaires indispensables propre à ce cycle d'étude.

    - la création d'une exposition itinérante autour du baobab

    - un programme de recherche en ethnobotanique sur le baobab au Sénégal et le référencement des plus vieux peuplements de baobab au Sénégal dans l'idée de dater au C14 les plus vieux spécimens.

    Des contacts ont déjà été pris pour réaliser les projets présentés au niveau institutionnel (IRD, Ministère des Affaires Etrangères, Ministère de l'Education Nationale) et privé (Fondations d'entreprise, Fondations Nicolas Hulot et Nature & Découverte).


    Le parrain de notre association sera Jérôme Hutin, photographe-explorateur et auteur du livre "Les arbres vénérables"

     

  • Projet "Coup de Main" de la Fondation Nature et Découvertes

    L'association INECOBA a déposé il y a quelques semaines un dossier de subvention "Coup de main" auprès de la Fondation Nature & Découverte intitulé "Au chevet des Baobabs" afin d'éditer d’un documentaire de 12 minutes de sensibilisation grand public autour du baobab et principalement de la problématique de la non-régénération de cette espèce au Sénégal. Un contenu interactif associant une photothèque, des contes et interviews permettra de proposer sous ce support un ensemble d'informations complémentaires au documentaire pour élargir par exemple les menaces qu'il existe autour de cet arbre emblématique à la fois en Afrique mais aussi dans nos DOM-COM.

    Ce projet a été pré-sélectionné il y a quelques jours et nous devrions avoir une réponse définitive avant le mois de septembre.

  • Projet Baobab - Madagascar

    Une approche innovante pour lutter contre la pauvreté et la déforestation à Madagascar

    Forêt de baobabs à MadagascarEn donnant une valeur économique au fruit du baobab pour améliorer le revenu de populations très pauvres, nous voulons encourager les communautés locales à protéger leurs arbres et leurs ressources naturelles pour une forêt vivante. Les forêts malgaches sont soumises à de fortes pressions anthropiques et risquent de disparaître avant même d’avoir été entièrement étudiées. En effet, 250.000 hectares de forêts malgaches disparaissent chaque année, ce qui signifie qu’à ce rythme de destruction les forêts auront complètement disparues dans une décennie. Ce sera une catastrophe pour Madagascar, qui est l’un des dix « points chauds » les plus importants de la biodiversité de la planète. La principale raison de la déforestation est l’agriculture sur brûlis à cause de la pauvreté, par ignorance et une habitude traditionnelle désastreuse.

    Déforestation par l'agriculture sur brûlisLe genre Baobab comprend huit espèces d’arbre dont six poussent uniquement à Madagascar, un symbole emblématique du pays. Depuis des siècles, les populations locales utilisent toutes les parties du Baobab comme source de nourriture quotidienne, comme remèdes traditionnels pour la peau, les maladies de l’appareil respiratoire et digestif, les fièvres et autres maux. Nous voulons vous faire découvrir au monde les bénéfices santé de deux ingrédients 100 % bio, issus des fruits des Baobabs de Madagascar, récoltés durablement et équitablement en milieu sauvage :

    • - La pulpe du fruit de Baobab
    • - L’huile des graines de Baobab

    Pour faire découvrir le superfruit du Baobab de Madagascarau monde nous avons besoin de soutien financier pour le lancement.

    Pour tout découvrir sur le projet Baobab, participer au financement collectif et recevoir des supers contreparties rendez-vous sur notre page Indiegogo : http://igg.me/at/thebaobabproject/x/3362258

     Article original publié sur le site BAOMIX

  • Projet de recherche scientifique autour du baobab en 2011 au Sénégal

    L'association INECOBA a déposée auprès des autorités compétentes au Sénégal le projet de recherche qu'elle souhaite mener cet été autour des baobabs. Cette mission organisée en juillet 2011 est à l'initiative d'un grand projet de recherche international sur cet arbre débuté il y a quelques années.

    En espace web dédié à ce projet sera mis en ligne d'ici quelques semaines pour l'instant en accès réservé uniquement...Vous y retrouverez les grandes lignes de ce projet, les photos, les vidéos et les résultats d'ici quelques mois.

    Ce projet est soutenu en France et au Sénégal par des institutions publiques et privées.

     

    Vous êtes de plus en plus nombreux, adhérent à l'association, sympathisant, curieux, à visiter notre site internet et nous tenions à vous remercier de votre fidélité.

  • Protection des forêt de baobab au Sénégal

    Notre association dédiée à la préservation et conservation des baobabs s'intéresse à la fois aux baobabs présents dans les départements et collectivités d'outre-mer françaises mais aussi au Sénégal afin de mener des projets et actions efficaces et durables.

    De ce fait, l'INECOBA est la seule association à ce jour qui regroupe et travaille avec des scientifiques du monde entier spécialisés autour de cet arbre tropical et soucieux de mettre en oeuvre de véritables projets cohérents.

  • Quand la recherche revisite des produits traditionnels africains

    Coordonné par le Cirad, le projet européen Aftercompte valoriser des produits traditionnels africains et leur savoir-faire afin d’en faire bénéficier les consommateurs et les producteurs en Afrique et en Europe. Du gagnant-gagnant !

    Développer la qualité de produits alimentaires traditionnels africains en vue d’un meilleur accès au marché, voilà l’ambition du projet européen After. Démarré en septembre dernier et coordonné par le Cirad, le projet mobilise des équipes interdisciplinaires de sept pays africains* et de quatre pays européens**. L’objectif est d’acquérir des connaissances sur les produits et les savoir-faire, puis de revisiter les procédés afin d’obtenir des produits de meilleure qualité sanitaire, sensorielle et nutritionnelle. Cela en vue d'un meilleur accès aux marché en Afrique et peut-être même en Europe.

    La démarche va concerner trois familles de produits : des aliments fermentés à partir de céréales, d’autres issus de viande et de poissons séchés et enfin des produits à base d’extraits de plantes. Tous les partenaires du projet se sont réunis à Cotonou, au Bénin, lors du séminaire de lancement mi-octobre.

    Objectifs et impacts attendus

    Le premier objectif du projet est d’acquérir des connaissances sur le savoir-faire actuel, les habitudes de consommation, les technologies et les procédés associés aux produits traditionnels étudiés. After proposera ensuite une optimisation de ces procédés traditionnels dans le but d'améliorer la qualité sanitaire et nutritionnelle des produits tout en conservant ou en améliorant leurs caractéristiques organoleptiques. En parallèle leur accessibilité au marché sera évaluée. Dans ce cadre des tests auprès des consommateurs seront menés de manière à définir les critères d’acceptabilité des produits. Enfin les résultats obtenus seront testés par des entreprises alimentaires africaines (PME) impliquées dans le projet puis diffusés sous forme de lignes directrices directement exploitables par les entreprises désireuses de se lancer dans la fabrication de ces produits.

    Trois types de produits à l’étude

    Le projet se focalise sur quatre produits fermentés à base de céréales. Consommés sous forme de boissons fraiches (Akpan et Gowé), de boulettes sèches (Kishk) ou de pâte (Kenkey). Les étapes de fermentation assurent une meilleure conservation de l’aliment et donc une meilleure sûreté sanitaire mais améliore aussi leur valeur nutritive. En Afrique, la fermentation est généralement combinée à d'autres opérations telles que le maltage, la mouture ou la cuisson. Le projet After compte améliorer la maitrise de ces étapes afin d’obtenir des produits de qualité capables de satisfaire la demande des consommateurs urbains en Afrique ou en Europe.


    À l’étude également, des viandes et poissons séchés : le Kitoza, un produit malgache à base de viande (appelé aussi Biltong en Afrique du Sud), ainsi que deux produits à base de poissons d’Afrique de l’Ouest : le Lanhouin (fermenté) et le Kong (fumé) Le projet After devrait développer de nouvelles technologies pour améliorer la qualité sanitaire et la conservation de ces produits.


    Dernière gamme de produits à l’étude, ceux issus des fruits et légumes. La fleur d’hibiscus rouge (Hibiscus sabdariffa L.) et le fruit du baobab (Adansonia digitata L.) sont traditionnellement utilisés pour préparer des boissons rafraichissantes.La pomme surette ou jujube (Ziziphus mauritiana Lam.) est, elle, réduite en farine pour réaliser des galettes. After s’intéressera en particulier à la caractérisation et à la valorisation des composés bioactifs*** et à leur présence dans ces différents aliments.

    * Bénin, Cameroun, Ghana, Egypte, Madagascar, Sénégal et Afrique du Sud.
    ** France, Italie, Portugal et Royaume-Uni.
    *** Les composés bioactifs présente dans certain aliments sont capables d’agir sur des fonctions physiologiques avec un bénéfice potentiel pour l’organisme.

    Article original publié : CIRAD

  • Quand les barbapapas parlent de baobab !

    Barbapapa doit être bien triste. Son père, l'Américain Talus Taylorest mort à Paris, le 19 février 2015 à l'âge de 82 ans. Décédé il y a une dizaine jours, on ne l'a pourtant appris que le dimanche 1er mars. L'homme était discret. Peut-être trop.

    En tout cas, il était le créateur avec sa femme Annette Tison, de la série des Barbapapa, il avait imaginé ce gentil géant rose transformable à volonté en 1970. Les aventures de Barbapa ont d'abord été publiées en français à L'École des loisirs. Puis les Éditions du Dragon d'Or reprennent le flambeau. Les Barbapapa ont été traduits dans plus de trente langues. Les histoires ont été adaptées en séries télévisées d'animation. Notamment dans une série de dessins animés dont le chanteur Ricet Barrier a composé les chansons et dont il était le seul narrateur.

    La famille des Barbapapa, avec Barbamama, et les sept barbabébés (Barbalala, Barbabelle, Barbotine, Barbidur, Barbibul, Barbidou, et Barbouille) a connu un succès mondial. Leurs aventures (10 albums) ont été adaptées en une centaine de dessins animés.

    Le grand succès viendra presque immédiatement avec les tout premiers albums. Car ces personnages multicolores ressemblant à des poires, capables de prendre toutes les formes possibles et imaginables, écologistes avant l'heure, ont vite conquis plusieurs générations d'enfants. Les Barbapapa ont depuis 45 ans transmis de belles valeurs de tolérance, d'amour et de respect à plusieurs millions d'enfants.

    Nous vous proposons de visualiser cet épisode des Barbapapas et du baobab de noël !

    Quand les barbapapas parlent de baobab !

    Posted by Institut pour l'Etude et la Conservation du Baobab : INECOBA on mercredi 25 septembre 2013

     

    Pour l'anecdote, la création de Barbapapa s'est faite par hasard dans les jardins du Luxembourg un beau jour de mai 1970. Alors qu'ils se promènent au jardin du Luxembourg, Talus Taylor entend un enfant réclamer à ses parents quelque chose qui s'appelle «Baa baa baa baa». Ne parlant pas français, il demande à son épouse Annette Tyson ce que cela signifie. Elle lui explique qu'il s'agit d'une friandise qui s'appelle la barbe à papa.

    Le Figaro

  • Quelques caratéristiques des 8 espèces de baobab présentes dans le monde

  • Quelques nouvelles du projet EDUCOBAOBAB

    EDUCO-BAOBAB : Programme d'éducation à l'environnement, d'éveil scientifique et de découverte du baobab africain

    Toute l'équipe de l'association est mobilisée depuis le début de l'année sur ce projet. Nous nous excusons du manque d'actualité publiée sur le site de l'association, mais l'investissement sur le projet EDUCOBAOBAB est extrêmement chronophage...Ce projet vient d'obtenir un soutien supplémentaire et de taille, celui du Ministère des Affaires Etrangères et Européennes par le biais de l'Ambassade de France au Sénégal.

    Pour rappel, ce projet est soutenu par la ville d'Aulnay-sous-Bois, la ville de Rufisque (Sénégal), la Fondation Nature & Découvertes (Projet "Coup de Main" - Février 2012), les éditions AUZOU.

    Les documents relatifs au projet sont en cours de finalisation, les fiches, le livret pédagogique, les posters sont même en cours d'impression. Les mallettes qui contiendront tous les documents sont arrivées cette semaine !

    Les enseignants et centres de loisirs aulnaysiens commenceront à travailler sur ce projet dès la rentrée scolaire de septembre. Une mission est prévue en octobre 2012 à Rufisque au Sénégal afin de distribuer les mallettes.

    Exemple de fiches :

    Couverture et page du livret :

  • Questionnement sur la non-regénération des baobabs au Sénégal et à Madagascar

    Dans certaines zones de Madagascar et encore plus sur le continent africain au Sénégal, il n’existe plus de jeunes baobabs, et ceci depuis 300 ou 400 ans. A Madagascar, les chercheurs du Centre International de Recherche en Agronomie pour le Développement (le CIRAD) et de l’Université d’Antananarivo unissent leurs efforts pour essayer de comprendre comment le processus s’est interrompu.

    Outre l’agriculture qui ravage les forêts, si le baobab ne se reproduit plus, c’est probablement qu’un maillon important pour la reproduction a disparu. Mais lequel ? Le baobab, à l’instar d’un certain nombre d’arbres tropicaux, aurait, en fait, une dissémination dite "zoochore" : les botanistes avancent qu’un baobab adulte secrète une substance qui empêche un jeune baobab de pousser juste à côté. Un intermédiaire serait donc nécessaire. Ainsi, certains animaux jouent ce rôle : ils mangent les fruits et les graines, et relâchent plus loin, dans leurs fescès, les graines non digérées. Certaines de ces espèces animales auraient aujourd’hui disparu : les botanistes pensent notamment à l’Aepyornis Maximus, l’oiseau-éléphant ou « vorombe », en malgache. Avec trois mètres d’envergure, cet oiseau, qui a disparu au 17ème siècle, est le plus grand volatile ayant jamais existé.

    Au Sénégal, l'agriculture et l'élevage est également jouer un rôle important dans la non-regénération de l'espèce et c'est probablement même le principal. Nous pouvons même ajouter l'utilisation excessive de ses feuilles et de ses fruits qui affaiblit les peuplements originel.

    Adaptation de l'article d'Agnès Rougier - RFI - Complément d'information Sénégal, Sébastien Garnaud

  • Radio Ethic : Plantons un baobab et soutenons l'association Inecoba

    Le Petit Prince et l’association Inécoba (Institut pour l’Etude et la Conservation du Baobab) se sont associés pour proposer des sachets de 8 graines. Un produit qui respecte les règles du commerce équitable. En achetant ces graines vous soutenez les actions de l’association Inécoba. Contrairement au Petit Prince, vous ne risquez rien, à faire pousser un baobab, il n’envahira pas votre salon ou votre terrasse…

    Entretien avec Thomas Rivière, qui gère les "Droits dérivés de l'oeuvre d'Antoine de Saint-Exupéry", au micro de Pascale Marcaggi de Radio Ethic.

    Vous pouvez écouter l'interview de Thomas Rivière au micro de Pascale Marcaggi :  ">http://www.inecoba.com/audio/Baobab-Petit_Prince_AR_PM_12.2010.mp3{/play}
  • Rappel en matière de dons

    Vos dons en faveur de l'Institut pour l'Etude et la Conservation du Baobab, l'INECOBA (association loi 1901) vous permettent de bénéficier d’une réduction d’impôt.

      Particuliers

    Pour les dons consentis à l'INECOBA, vous profitez d'une réduction d’impôt de 66 %, celles-ci étant retenues dans la limite annuelle de 20 % de votre revenu imposable (Art. 200 du CGI).Ainsi par exemple, un don de 100 euros ne vous revient qu'à 34 euros après déduction fiscale.

    Lorsque le montant de ces dons dépasse la limite de 20%, l’excédent est reporté sur les 5 années suivantes et permet de bénéficier de la réduction d’impôt dans les mêmes conditions.

      Entreprises

    Les dons effectués par les entreprises ouvrent droit à une réduction de leur impôt sur les sociétés ou de leur impôt sur les revenus égale à 60% du don dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires. Si le versement effectué par l’entreprise excède ce plafond ou si elle est déficitaire, elle a la possibilité de reporter le bénéfice de la déductibilité (sur l’impôt sur les sociétés ou sur l’impôt sur les revenus) sur les 5 années suivant celle du don.

     

      Pour faire un don, vous pouvez :

    • soit nous adresser un chèque bancaire à l'ordre de l'INECOBA - 8 rue Charles Vaillant, 93600 - Aulnay-sous-Bois - France
    • soit pour paypal sur le compte de l'INECOBA :

     

     

    • Pour un règlement par virement bancaire : Banque Populaire Rives de Paris (nous contacter pour avoir les coordonnées complètes)

     

    Un reçu fiscal vous sera adressé par retour du courrier ainsi que des comptes-rendus réguliers d'activité et d'utilisation des dons. Ce reçu fiscal devra être joint à votre déclaration d'impôt. En cas de déclaration des revenus par internet, le reçu sera à conserver, l'administration fiscale pouvant les réclamer.

  • Recette : jus de baobab - Bouye

    Recette : jus de baobab - Bouye

     

          Ingrédients:

    • 0,5 L d'eau
    • 4 cuillères à soupe de poudre de baobab (tamisée)
    • 50 g de sucre en poudre (sucre de canne)
    • 1 sachet de sucre vanillé

    PREPARATION

    - On peut laisser reposer la poudre de baobab dans de l'eau pendant plusieurs heures (3 heures par exemple), ou alors on fait une décoction, en la délayant dans de l'eau bouillante que je laisse sur le feu 5 mn.
    - Rajoutez le sucre de canne et le sachet de sucre vanillé.
    - Ôtez du feu et remuez avant de servir.
    Votre jus est prêt! Vous voyez, c'est très simple! Et surtout très bon! J'adore son petit goût acidulé.
    Vous pouvez boire ce jus chaud comme une tisane ou alors le mettre au frais.
    Petite astuce pour diversifier les saveurs: vous pouvez le parfumer avec du gingembre, du jus d'ananas, des feuilles de menthe, du jus de bissap, du nectar de goyave ou de banane (Humm!)...
     

    Une autre variante que j'aime bien faire:

    - Ajouter à votre jus du lait concentré sucré ou du lait de coco.
    - Verser le jus dans un bac à glace et plongez-y un baton de cure-dent dans chaque bac.
    - Rangez votre bac au congélateur.
    Après quelques heures vous aurez des bonbons glacés à déguster au gouter! (Les enfants adoreront!)
     

    Encore une autre variante:

    - Ajoutez-y une boule de glace à la vanille et mixez le tout. Vous pouvez maintenant vous régaler avec ce délicieux smoothie!

    Recette publiée sur ce site : cliquer

  • Rencontre avec l'association INECOBA au magasin Nature & Découvertes

    Dans le cadre de la Fête de la Nature (19-23 mai 2010), l'association animera plusieurs ateliers au magasin Nature & Découverte du centre commercial Parinor le mercredi 19 mai et samedi 22 mai de 14 h à 17 heures.

    Vous pouvez vous inscrire directement sur le site internet de Nature et Découverte : cliquer ici

    Ces ateliers se sont vus attribuer le label "Année internationale de la biodiversité 2010" par Ministère de l'Écologie, de l'Energie, du Développement durable et de la Mer.

    Retrouvez le programme officiel des manifestations en cliquant ici : Biodiversité 2010

     

    Il sera possible de se pré-inscrire aux ateliers de 30 minutes qui se dérouleront à 14h00, 15h00 et 16h00. Au programme, conférence-projection autour de la découverte de l'arbre (histoire, botanique, utilisations) et dégustation de produits dérivés du baobab : pulpe de fruit de baobab, confiture,....

  • Retour sur le vernissage de l'exposition "Au coeur des forêts" et projection du documentaire "Graine de colosse"

    Le vernissage de l'exposition "Au coeur des Forêts" a rassemblé ce samedi une cinquantaine de personnes. A cette occasion, l'association INECOBA a présenté le documentaire "Graine de colosse" qui a reçu le label "Année Internationale des forêts" du Ministère de l'Agriculture. Ce documentaire a bénéficié du soutien financier de :

    Etaient présents à ce vernissage :

    • Mr Defait, adjoint au Maire aux transports et déplacements urbains - les délégations de services publics - l’écologie, l’environnement - le développement durable - l’agenda 21
    • Mr Laouedj, adjoint au Maire à La Vie Associative, Coopération décentralisée, Relations Internationales

  • Retrouvez aussi l'association INECOBA sur Facebook

    Vous pouvez retrouver toute l'actualité de l'association INECOBA sur notre page facebook et devenez fan !

    J’aime

  • Retrouvez le Petit Prince sur France 3 le 24 décembre à 20h35 - 2 épisodes

    C’est Officiel, France 3 consacrera sa soirée du 24 décembre au Petit Prince avec la diffusion dès 20h35 de deux épisodes de la série animée du Petit Prince ! Nous avons eu l'occasion de voir le premier épisode en avant-première le 05 décembre 2010...très jolie réalisation, histoire, graphisme impeccable et n'oublions pas également les valeurs portés par le Petit Prince qui restent fidèle à Antoine de Saint-Exupéry ! Pour rappel, notre association s'est associé à la succession d'Antoine de Saint-Exupéry et vous propose depuis le mois de septembre des sachets de graines de baobab "Le Petit Prince".

     

    Cette année, vos enfants passeront le réveillons du 24 décembre avec Le Petit Prince à l’occasion de la diffusion de deux épisodes inédits de la nouvelle série animée du Petit Prince. Deux nouveaux voyages incroyables en compagnie du Petit Prince et du Renard, destination la Planète du Temps et la Planète de l’oiseau de feu !!

     

     

    Futura-Sciences organise du 06 décembre au 23 décembre le concours « Le Petit Prince ». À l’occasion des fêtes de Noël, le petit prince sera ressuscité à la télévision. Des grands noms de l’animation ont concocté une ambitieuse animation qui s’étalera sur 52 épisodes. A cette occasion, participez à notre concours exclusif et gagnez des livres, montres et DVD du petit prince.

    Dotation du concours :
    - 30 livres POP-UP de la série
    - 50 DVD « Le Petit Prince et la planète du temps »
    - 50 montres « Le Petit Prince Classique »

    Participez au concours dès à présent !

     

  • Retrouvez nous les 26 & 27 mars 2011 au salon Edenia

    Venez nous rencontrer à l'occasion du Salon Edenia qui se tiendra les 26 & 27 mai 2011. Vous y trouverez un sélection de produits baobab : plants, confitures, graines, barres aux céréales, et quelques surprises !

    Nous projeterons également le documentaire "Graine de colosse" de notre association en fin de matinée et début d'après-midi.

  • Salon de Jardinage - 23 au 26 septembre 2010

    L'association INECOBA, membre de l'AD93, a participé cette année au Salon du Jardinage qui s'est tenu au Blanc-Mesnil du 23 au 26 septembre 2010.

    Le mairie du Blanc-Mesnil, Didier Mignot et le président de l'AD93, Claude Raux sur le stand de l'association INECOBA, en compagnie du trésorier, Sandy Flament.

    Photo de Yann Magnoux

  • Salon du jardinage à la Courneuve ce week-end

    L’AD93, association départementale du jardinage et du fleurissement de la Seine – Saint – Denis, en lien avec La Courneuve Fleurie, et la ville, organise le 30è salon du jardinage. Les amateurs de jardinage, de fleurs, de potagers, de légumes frais et de produits du terroir y trouveront leur bonheur.

    Maraîchers, horticulteurs, pépiniéristes, attendent les visiteurs.  Les associations de jardinage et de fleurissement feront partager leur passion du jardinage et présenteront leurs activités au public.

    L'association INECOBA, adhérente de l'AD93, sera présente pendant les 4 jours et répondra à toutes vos questions autour du baobab !!

    Le patrimoine horticole se fondra dans le décor avec une exposition de photos et d’outils anciens illustrant les traditions de cultures maraîchères de La Courneuve et des murs à pèches de Montreuil.

    Les lycées horticoles de Vaujours et de Montreuil présenteront les formations initiales pour les jeunes et les formations continues pour adultes.

    Les agents du service des espaces verts de Plaine Commune initieront les plus jeunes aux joies du rempotage.

    Pendant ce week-end, la Courneuve accueillera des représentants de sa ville sœur de Vitulazzio, en Italie. Ceux-ci seront présents sur le salon pour faire déguster aux Courneuviens leurs spécialités régionales.


    Un petit train sillonnera les rues de la ville pour emmener les Courneuviens au salon.

    Salon du jardinage

    10 bis rue Edgar Quinet,
    Du 22 au 25 septembre 2011,
    De 10h à 19h,
    Entrée libre

  • Salon EDENIA "Plantes exotiques de l'ouest parisien" - L'association INECOBA sera présente

    L'association INECOBA sera présente du 26 au 27 mars 2011 dans les locaux de l’ISTOM à Cergy-Pontoise dans le cadre de la manifestation 14ème édition d'EDENIA.

    Nous présenterons les activités de l'association et proposerons pour la première fois de la confiture de baobab, baobab-bissap, des barres Bio de céréales au baobab, le DVD "Au chevet des Baobabs" et toujours des jeunes plants de baobab, graines,....et des ateliers semis de graines de baobab pour les enfants.

    Nous présenterons aussi  en avant-première notre film documentaire "Graine de Colosse " qui détaille les enjeux de la problématique du baobab au Sénégal sous la forme d’un conte africain, avec un petit air de Saint Saint-Exupéry. Il sera projeté 2 fois par jour et suivi d'un débat.

    Cette année vous y trouverez aussi :

    Ambiance tropicale humide: Plusieurs exposants se réunissent pour vous offrir une salle faisant la part belle à l’exposition et à la mise en scène. Venez retrouver TAKA orchidées, Extreme Plants, l’association pour la connaissance des invertébrés et Orchidées nature dans un milieu équatorial.

    Exposition :cette années chaque exposant aura un emplacement dédié à l’exposition de ses plus beaux spécimens : les rares, les impressionnants, les attachants… ou sur des supports originaux.

    Les Jardins d’Eden: L’association vous présente pour la première fois les plus belles plantes de la serre de l’ISTOM, présentée en fonction de leurs origines et de leurs milieux naturel, avecde riches descriptions et des élèves prêts à répondre à vos questions.

    Conférence:Bruno Bordenave, botaniste du MNHN, vous propose une conférence sur la flore de Guyane.

    Expo photo : Des expositions de photos seront là pour vous montrer les spécimens trop grands ou trop fragiles pour faire le déplacement jusqu’à Cergy.

    Animation enfants :Durant tout le week-end l’association Eden propose des activités autour des plantes (bouturage, décoration de pots…) pour les plus jeunes.

    Tarifs:Entrées: Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans et les étudiants munis du « Pass’culture »; 1€/enfants de plus de 12 ans ou étudiants et 2€/adulte.

  • Salon Gardenia 2008 - Week-end du 11 et 12 octobre 2008

  • Second extrait de "Graine de colosse" - Documentaire de 12' de l'association INECOBA

    L'association INECOBA vient d'éditer une D-carte qui se compose d'un mini-DVD intitulé "Au chevet des Baobabs" inséré par un clip de fixation sur une carte postale. L'ensemble est présenté dans une pochette transparente avec une enveloppe blanche non affranchie. Elle sera disponible mi-février au prix de 5,99 euros (+ 1,5 euros de frais d'envoi).

    Le mini-DVD comprend :

    • un documentaire de l'association INECOBA de 12 minutes intitulé "Graine de colosse"
    • 2 photothèques : l'une de 36 photos commentées et l'autre de 40 photos
    • 1 extrait sur la pollinisation des fleurs de baobab par les chauves-souris
    • 1 menu Bonus et Partenaires

    Graine de Colosse - Documentaire de 12 minutes

    Ce documentaire nous conte l'histoire de 2 graines de baobab qui ont germé et grandi dans la région de Nguékokh au Sénégal, à 70 km de Dakar. Mais l'une s'est retrouvée dans la réserve naturelle de Bandia et l'autre, séparée par un grillage dans la forêt de Nguékokh. Ce baobab se demande pourquoi il n'a pas la même morphologie que son jumeau né de l'autre côté du grillage. On découvre alors que dans ces baobabs, des enfants taillent les feuilles sous le regard d’un troupeau de bétail qui attend son fourrage. A quelques mètres de là, un agriculteur récolte l’écorce d’un de ces grands arbres feuilles. Ses fruits, le pain de singe, sont aussi traditionnellement utilisés. Il comprend alors que la forêt de baobab de Nguékokh ne se régénère plus.

    Deux scientifiques de l'association INECOBA, Sébastien Garnaud et Tomas Diagne se mettent en quête d'information, d'idée pour aider ce colosse. Nous lui suivons sur l'Ile de la Madeleine au large de Dakar où des baobabs millénaires aux formes noueuses façonnés par les vents sont préservés et se régénèrent naturellement dans cet environnement hostile. Sébastien survole la forêt de baobab de Nguékok : les baobabs sont de moins en moins nombreux et dispersés. En regagnant la capitale, nous rencontrons Philippe Raguin, cultivateur de baobabs, qui nous amènera aux portes de plantations maîtrisées, pouvant nous aider à préserver, replanter ce colosse dans son milieu naturel...

    Un certain Petit Prince avait cru volontiers sa rose lorsqu'elle disait que les baobabs étaient si grands et si forts qu'ils risquaient d'engloutir sa planète. Mais baobab jure qu'il a beau être grand et fort, c'est lui qui aurait besoin aujourd'hui d'un Petit Prince pour l'aider à s'enraciner.

    Convié, par ce film, au pied de ces véritables monuments organiques, nous ressentons leurs fragilités, celle du milieu où ils sont implantés et la nécessité de les préserver. "Nous prenons conscience du lien indissociable qui existe entre l’homme et la nature."

     

     

     

    avec la participation de:

    • Sébastien GARNAUD - Président-Fondateur de l'Institut pour l'Etude et la Conservation du Baobab
    • Tomas Diagne - Agronome / Membre expert Commission Survie des Espèces IUCN
    • Philippe Raguin - Directeur de la Société Végétaux d'Ailleurs International
    • Eric Brun - Pilote - Aérodrome de Saly
    • Christian Deering - Directeur de la Réserve de Bandia
    • Ousman Diop - Village de Fissel Mbadane

    Commentaire & Réalisation : Federico Varrasso

    Narration : Christian Crahay

    Son & Mixage :Yves Bemelmans

    Crédits photographies :

    • Maurice Loir - Zooplanction & chrysalide
    • Florian Dessimoz - Périophtalme
    • Emilie Segard - Fougères
    • Sébastien Garnaud - Baobabs

    Avec le soutien de :

     

  • Tablettes de chocolat bio

    La société Chocolat Stella & Chocolat Bernrain propose des tablettes bio de chocolat à la pulpe de fruit de baobab (5%). Un goût très agréable avec une légère touche acidulée à la fin !

        

    L'association INECOBA vous proposera probablement dans les prochaines semaines du chocolat à base de pulpe de fruit de baobab...restez à l'écoute !

  • The Baobab Project - extrait émission voyage "retrouvez la nature"

    "The Baobab Project" un extrait de l'émission diffusée sur chaîne voyage "Retrouvez la Nature" - Mannaïg de Kersauson et son équipe parcourent le monde à la recherche de femmes et d’hommes qui s’attachent à réparer les manquements commis envers l’environnement et, mieux, ouvrent de nouvelles voies pour coexister avec lui (Projet auquel l'association INECOBA est partenaire.) cliquer ICI.

  • The Baobabs: Pachycauls of Africa, Madagascar and Australia

    G.E. Wickensa publié en 1982 un article de référence sur le baobab intitulé :The Baobab-Africa's upside-down Tree.Kew-Bulletin, 37, 173-209. Après plusieurs publications en botanique, il nous propose en 2008 avec Pat Lowe un livre consacré à toutes les espèces de baobab dans le monde.

    Un livre de référence sans aucun doute a se procurer pour tous les baobabophiles malgré un prix un peu élevé de 200 euros, frais de port compris : cliquer ici pour le commander directement chez l'éditeur Springer.


    This is the only comprehensive account of all eight species in the genus Adansonia. It describes the historical background from the late Roman period to the present. It covers the extraordinary variety of economic uses of baobabs, famous trees, folk traditions and mythology, art associations, life cycle, natural history, cultivation, conservation, distribution and ecology, and phytogeography. There are also appendices on vernacular names, gazetteer, economics, nutrition and forest mensuration.

    This book fills a gap in the botanical literature. It deals with a genus that has fascinated and intrigued scientists and lay persons for centuries. It will appeal to scientists and academics as well as tropical horticulturalists, conservationists and general interest readers. It includes all the available scientific information about each of the eight species, and contains a good deal of original research on the history, ethnobotany and biology of the genus. There is even a chapter devoted to areas where further research is required.

    Written for:

    Ethnobotanists and nutritionists interested in the use of the baobab’s roots, leaves, flowers and fruit for food (rich in vitamin C, minerals, amino-acids, etc.), Pharmacognosists interested in the tree’s medicinal properties, botanists, zoologists and conservationists concerned with baobabs and their rich flora and fauna associates, Ethnologists interested in the varied legends, myths and folklore of the baobabs, General public who have a genuine fascination of baobabs

  • Timbre 2010 bloc "Les Baobabs" République Togolaise

    Nous vous présentons ici les deux derniers blocs de timbres émis par la république Togolaise en 2010 qui mettent à l'honneur le baobab. Vous pouvez vous les procurer directement sur la Boutique du Baobab : cliquer ici(attention, quantité limitée !)

  • Très bonne année 2010

  • Un baobab à la Villa de Tartatin de Tarascon

    Nous savions qu'un baobab rapporté en 1714 par James Sherard (médecin et botaniste britannique - 1666/1738) avait vécu en pleine terre pendant 26 ans en Angleterre avant de mourir de froid en 1740.

    Toutefois, en France, nous n'avions pas encore trouvé de baobab planté en pleine terre. Nous allons poussé nos investigations pour en savoir plus sur ce baobab et vous tiendrons informé des résultats de l'enquête.

    Nous avons aussi relancé l'inventaire des baobabs présentes en Martinique et devriont avoir les premières photos ces baobabs dans ce département d'Outre Mer d'ici quelques semaines.

    Tarascon - La Villa Tartarin

    Tout près de la Porte de la Condamine. C’est la troisième maison à main gauche sur le chemin d’Avignon. On y voit encore le fameux Baobab et la plupart des plantes exotiquesque le grnad tartarin de Tarascon avait rapportées d’Afrique Centrale. Le corps du célèbre héros Tarasconnais repose au fond du jardin, dans un magnifique tombeau qui est, chaque année, le jour de la St-Hubert, l’objet d’un grand pélerinage. Dans le vestibule de la villa, on a placè tout récemment les bustes de Bravida et de Costecalde.